MAISON DU LAC...du n'importe quoi !

Pour des besoins d'économies budgétaires et pour un bénéfice social et pédagogique, nous avons proposé des améliorations notoires. VOIR LE POST ET LE DOSSIER du 11 MARS DERNIER

Ces propositions ont valu à notre représentante élue, des insultes, des dénigrements, notamment, avec, pour opposition, des mots violents, sans arguments aucun, lors du conseil CCLA du 15 mars. Nous en possédons la mémorisation intacte, d'autant que nous étions plusieurs à y avoir assisté.  La démocratie était en berne ce jour là !

Donc, la réflexion souhaitée pour la Maison du Lac, a reçu une fin de non recevoir des 2 présidents... Signification édifiante de "l'ouverture d'esprit" et, surtout, de la volonté de ne rien changer, même dans le cas démontré de fausse piste. 20 000 euros à la clé, des accès permanents profitables à tous sans restriction, nous semblaient pourtant relever d'une amélioration du service public à offrir.

En attendant, nous n'avons toujours pas les éléments analytiques de 2014 et 2015 demandés depuis décembre. Ils semblent "interdits" d'accès, bien que données publiques.

Pour cela, notre représentante a pris la décision d'adresser une lettre recommandée avec AR, au président CCLA, pour première démarche officielle, afin d'obtenir son intervention auprès du Président en charge de la Régie Maison du Lac.... C'était en date du 29 mars 2016. Un mois après, nous consentons à patienter, mais peu encore....! 

Bien sûr, la suite que nous donnerons dépend de la réponse ou non-réponse. Quoi qu'il en soit, nous irons au bout des démarches possibles.

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D'autre part, nous pointons d'ores et déjà des dysfonctionnements importants quant à la gestion programmée.

En effet, l'Office de Tourisme est censé prendre en charge les activités commerciales de la MAISON DU LAC dont la régie autonome a été clôturée au 31 décembre 2015. Celle-ci ne peut plus être exercée dans le cadre de la CCLA.  Il a été prévu de faire une Délégation de Service Public à l'OT dès la saison 2016.

SAUF QUE !!! La licence de débit de boissons n'a toujours pas été transférée à un dirigeant de L'OT (Association loi 1901), laquelle n'a pas encore désigné qui va la porter. En toute logique, la CCLA, propriétaire, en est encore gestionnaire mais sans possibilité de l'exploiter.

Pour les commerces des Bar, boutique, scénographie, locations salles, l'OT n'a pas encore fiscalement mis au point sa gestion (RCS, gestion TVA, Impôts, limites associatives ou changement de statut...).

Quant aux CCLA et CC.Val Guiers, elles n'ont pas encore établi les contenus précis des services publics qu'elles souhaitent déléguer avec leurs limites d'exploitation. Elles n'ont pas finalisé, ni voté, les documents conformes. Aucune convention n'a donc encore été signée, à ce jour.

L'ouverture des commerces est annoncée au 30 AVRIL 2016. 

C'est aujourd'hui...!!! 

... Et la structure Maison du Lac est inexistante, légalement.

C'est donc dans la plus évidente illégalité que les commerces de la Maison du lac vont s'exercer à compter d'aujourd'hui. 

La concurrence directe faite aux autres commerces, riverains et locaux, qui, eux, n'ont pas droit aux multiples publicités du panneau lumineux, ni au personnel assumé par le budget offert par les contribuables y compris en cas de déficit, est réelle. Nous alertons depuis novembre dernier sur les dérapages, les rectificatifs, insuffisances, redressements à mettre en oeuvre, etc... 

Nous avons pourtant insisté, rabâché, averti.. Les "autorités" sont un peu...beaucoup... sourdes, à notre goût.

Insupportable !

BLA..BLA...BLA !!!

L'actualité que vous lisez dans vos tribunes locales sur les regroupements de Comcom du territoire est en dérive.
Elle se noie dans une rivière tourmentée de bla-bla ou de chantages bien inappropriés.

Reprenons !
Au début était proposé par le préfet de Savoie un mariage, à consentir, des Comcom de CCLA, Val Guiers, Yenne.
On nous avait présenté cette hypothèse assortie d'une manne financière de plus de 200 000€ de budget supplémentaire (pour l'ensemble). Bon ! c'est toujours attractif. On a dit oui.

Le très classique argument de promotion a été bien sûr largement utilisé pour pousser aux votes favorables pour ce regroupement : la mutualisation qui doit entraîner... des économies...!!??!!

Lesquelles ?  A cette question les réponses ne sont jamais bien claires car on sait bien qu'en définitive les frais sont toujours plus importants quand on empile les (in)compétences.

Mais, a-t'on dit, s'allier pourrait créer une "force" qui pèserait mieux dans certaines décisions départementales ou régionales. 

BOF ! N'oublions pas que "se suffire, c'est être puissant." (V.Hugo).

Puis vint la position de la Comcom de Yenne qui préfèrait rester indépendante puisque son souhait de s'allier à son bassin de vie du côté Belley s'avèrait impossible. Dont acte. 

Vint aussi l'envie de passer le Guiers pour quelques communes Iséroises de la Comcom des Vallons du Guiers (le côté Isère qui longe la rivière frontière). Alors, en CCLA, on s'est dit "pourquoi pas ?" car Pont Savoie ou Pont Isère, St Genix ou Aoste, c'est notre bassin de vie. Sauf que, parmi les 9 communes, Aoste, Granieu et Chimilin ne sont pas d'accord. Ça bouscule l'entente cordiale, là-bas...

En ce moment, la presse vous délivre qu'il y aurait des revendications "énormes", présentées comme vitales pour l'avenir des 3 Comcom CCLA, Val Guiers, Vallons du Guiers.  

BOF ! Une campagne de nulle part visant à "forcer" les préfets à prononcer cette alliance.

Faut-il forcer le consentement des futurs mariés ? Ne nous emmène-t'on pas vers une erreur fondamentale d'alliance artificielle ? Vers quel divorce futur ?

C'est pourquoi, de cette campagne de promotion qui passe dans la presse, vous devez savoir qu'elle n'est pas le reflet de la mission que les conseillers de la CCLA ont lancée.

Le Conseil Communautaire a uniquement voté pour émettre un souhait de regroupement d'un territoire de vie réaliste auprès des préfets. POINT. 

Les communiqués de presse n'ont pas été décidés, ni demandés par les conseillers communautaires CCLA. Qu'on se le dise !

LE RÔLE QUE L'ON JOUE...OU PAS

FINANCES, BUDGETS, PORTE-MONNAIE, DÉPENSES, IMPÔTS, TAXES, REVENUS, PROJETS.....tous ces mots sont bien connus de tout le monde et chacun tente de les maîtriser.

• Pour maîtriser, il faut bien connaître. 
• Pour connaître, il faut bien comprendre,
• Pour comprendre, il faut bien s'informer.

En conséquence, les élus "Novalaise autrement" se sentent très engagés dans cette perspective.

Et bien, notre expérience montre, après 2 années de travail, qu'il s'avère bien difficile d'avoir simplement des réponses à des questions, fussent-elles ordinaires... Si, si !!!

Questionner est reçu comme une agression, une transgression aux habitudes du laisser-faire ou laisser-dire... Cela amène des non-réponses, des évitements, des énervements et même des colères. Questionner bouscule la tranquillité habituelle du questionné. Il n'aime pas.
Toujours, les réactions sont fort intéressantes, révélatrices de fonctionnement archaïque ou d'étroitesse intellectuelle, voire de basique intolérance à toute ouverture de discussion. Rare est élu ouvert, lorsque la contradiction intervient. 

Une métaphore pour exemple. 

On demande : "Qu'y a t'il dans la boisson que tu nous sers ?".

Style de réponse souvent faite :  "Pfff ! Bois et tais-toi !". 

Poison ou acide, il faudrait donc se délecter des potions proposées et... avaler, quelquefois jusqu'à la lie, même les plus frelatées ? Et il y en a.

Chacun adopte un comportement, au sein des assemblées :

• On se bouche le nez, les yeux, les oreilles et on absorbe : Catégorie Soumis !
• On avale l'indigeste nectar et on prend un grand verre d'eau pure en rentrant chez soi, pour se laver l'estomac et la tête : Catégorie Résigné !
• On boit tout, mais à la paille pour que ça soit moins douloureux : Catégorie Masochiste !
• On refuse le breuvage pour préférer garder un corps sain et son libre-arbitre : Catégorie Précautionneux ! 
• On exige de connaître la composition avant de l'ingérer : Catégorie Sage !

Venez assister aux assemblées, vous saurez mieux à qui vous avez accordé vos suffrages.